Après avoir été candidate à l'investiture pour à peu près toutes les élections en Vaucluse depuis 15 ans, elle reproche à la Fédération de ne pas l'avoir choisie aux dernières législatives. Oubliant un peu vite que ce sont les militants qui, à une écrasante majorité, en ont décidé ainsi. L'histoire a prouvé qu'ils avaient raison.
Bon vent !
Si d'autres veulent construire une liste en s'appuyant sur ce genre d'éléments, dont l'ambition et l'aigreur sont les seuls moteurs... libre à eux. Cela aussi en dira long, en mars prochain, sur la véritable nature d'une liste qui prétendra sans doute défendre l'intérêt collectif quand ses membres ne penseront qu'à leur intérêt personnel.
Mais ne nous y trompons pas : ce n'est pas "une socialiste" qui s'acoquine avec l'extrême droite. C'est une femme aigrie par l'échec de ses ambitions, qui choisit de renier les valeurs qu'elle faisait mine de défendre. C'est un destin personnel, pas un parcours politique.
Une nouvelle génération socialiste est là - et nous, nous savons que la démocratie ne se monnaye pas, fut-ce pour un poste d'adjoint.
> lire l'article de Vaucluse Matin ce jour
