Jeune Orangeois, si tu ne t'occupes pas de politique, la politique s'occupera de toi. Ou pas.

Depuis ce matin, les socialistes orangeois ont entamé une campagne de sensibilisation à l'inscription sur les listes électorales.

Aux dernières municipales de 2008, à Orange, un inscrit sur trois ne s'était pas déplacé pour voter (33% d'abstention). C'est beaucoup. Mais c'est oublier, aussi, la cohorte de non inscrits, ceux qui ont oublié de s'inscrire, ceux qui n'ont pas eu le temps (?), ceux qui ne savaient pas... et ceux qui ne voulaient pas !

Car ils sont nombreux. Et le climat général de défiance vis à vis du personnel politique n'arrange évidemment pas les choses - pour une bonne part, c'est à nous, responsables politiques, de nous remettre en question.

Mais au delà de ce climat national, il y a Orange. Avec son contexte local qui aggrave encore la tentation du désintérêt et du repli sur soi :

Pourquoi je ne serai pas le prochain maire d'Orange... ;)

Des informations parues aujourd’hui dans La Provence (et qui relaient d’autres rumeurs parues il y a quelques semaines) expliquent que j’ai « refusé de partir aux côtés de Fabienne Haloui (tête de liste) » pour les prochaines élections municipales de 2014.

La réalité est un peu différente : je n’ai rien refusé, j’ai simplement décidé de ne pas me présenter à l’investiture socialiste

Récupération politique du Maire d'Orange : le 1er REC mérite plus de respect et de dignité !

M. Bompard a l’art de réinterpréter les situations. L’art d’oublier qu’il a été inactif pendant 10 ans, quand la rumeur s’amplifiait d’un départ du  1^er REC...

Départ du 1er REC d'Orange : émotion, union, compensation

Le départ du 1er REC d’Orange est une très mauvaise nouvelle pour la Ville et pour ses habitants. Depuis 1967, un lien d’attachement solide s’était créé avec une population fière d’accueillir ce régiment prestigieux, ce 1er REC dont les hommes ont démontré leur courage et défendu les intérêts de la Patrie sur de si nombreux terrains d’intervention à travers le monde.